mardi 11 février 2020




Michel

 Campagnac


enseignant en lycée professionnel
Conseiller municipal
tête de la liste
 
Lutte Ouvrière-faire

 entendre

le camps des travailleurs

à

Bezons


Le 15 mars, aura lieu le premier tour des élections municipales.

Pour bien des candidats, les élections municipales sont un enjeu politicien et un enjeu pour leur carrière. Pour les travailleurs conscients de leurs intérêts, c’est l’occasion de faire entendre nos exigences.
La mobilisation contre la réforme des retraites se poursuit. Comme l'ont montré les manifestations de la semaine dernière, cette bataille est loin d’être finie. Et même si ce n’est pas dans les urnes que nous pourrons mettre en échec la politique antiouvrière de Macron et de son gouvernement, les élections peuvent permettre au moins de se compter et de faire entendre le camp des travailleurs.
Nous présentons une liste aux élections municipales de Bezons. Nos candidates et nos candidats ne sont pas des politiciens ni des notables. Ils affirment fièrement leurs idées communistes et révolutionnaires. Ce sont des ouvriers, des employés, des manutentionnaires, des techniciens, des caissières, des agents d'entretien, des hospitaliers et des enseignants. Ils partagent la vie et les difficultés des travailleurs. Ils sont engagés dans le combat contre la réforme des retraites et contre toutes les attaques dont les travailleurs font l'objet.


Nous avons à cœur d’affirmer qu’il y a deux camps dans cette société et deux façons de voir les choses. La question des retraites est très révélatrice : pour les puissants et tous ceux qui les servent, il n’y aurait pas d’autre solution que d’accepter de travailler davantage et de se contenter d’une retraite toujours plus minable. Mais pour ceux qui travaillent et qui en supportent toutes les contraintes, comment accepter de travailler jusqu’à 65 ans, sur les chantiers, dans les hôpitaux ou les maisons de retraites, les restaurants ou encore les bureaux ou les salles de classes. Cela n’a pas de sens, les jeunes n’ont pas de travail, et bien des patrons se débarrassent des plus anciens dès qu’ils le peuvent. Entre ces deux façons de voir les choses, nous savons quelle est la notre : celle du camp des travailleurs.

Nous ne disons pas : « Votez pour nous et les choses changeront ». Il n'est pas possible, à l'échelle d'une commune, de changer réellement la vie des travailleurs. Le pouvoir appartient aux capitalistes et à l'État. Les communes populaires, en particulier, sont prises en étau entre les besoins criants et le manque de moyens pour y faire face.
En revanche, une commune dirigée par des révolutionnaires pourrait être un point d'appui pour organiser, avec les travailleurs, leurs combats : contre des licenciements, pour soutenir des grèves, contre les expulsions locatives ou encore pour la réquisition de logements vides. Une telle municipalité mettrait ses moyens matériels à la disposition de ceux qui luttent. Elle chercherait à instaurer localement une démocratie ouvrière, en associant à ses décisions les travailleurs, leurs syndicats et leurs associations.
Et même en minorité dans un conseil municipal, des élus de Lutte ouvrière pourraient être les yeux et les oreilles des classes populaires. Ils se feraient les porte-parole de leurs intérêts contre ceux des riches. Ils dénonceraient les promoteurs immobiliers et les capitalistes qui vivent aux crochets de la collectivité, et les notables qui les arrosent.
Alors, le 15 mars prochain, en votant pour les listes de Lutte ouvrière, les travailleurs conscients de leurs intérêts pourront se faire entendre. Avant comme après cette échéance, il faudra poursuivre la lutte, car l'offensive de Macron et Philippe, ces pantins qui gouvernent au profit du grand capital, ne s'arrêtera pas avec les municipales.

Envoyez des représentants du
 
camp des travailleurs au conseil municipal

 de Bezons.

votez pour la liste 
 
Lutte ouvrière-faire entendre le camp des
 travailleurs menée par Michel Campagnac

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