Depuis 25 ans, les gouvernements français ne ménagent pas leurs efforts pour vendre l’avion de chasse Rafale de Dassault.
De report en déconvenue, après les derniers échecs auprès de la Suisse, puis du Brésil, la vente du Rafale à l’exportation nous est présentée comme une grande cause nationale.(à suivre)
La décision annoncée hier de poursuivre des pourparlers entre les ministres de la Défense français Le Drian et indien Manohar Parrikar pour la vente de 126 Rafale, contrat estimé à 15 milliards de dollars, fait frétiller d’aise les partisans du « savoir-faire » national.
L’Inde se donne les moyens d’une puissance militaire car les appétits des classes dirigeantes passent bien avant les besoins élémentaires de la population.
Quant au contrat jackpot pour le Rafale, Dassault l’a déjà décroché depuis le début. L’État français, disons plutôt les contribuables, a déjà dépensé plus de 43 milliards pour ce joujou meurtrier.
De report en déconvenue, après les derniers échecs auprès de la Suisse, puis du Brésil, la vente du Rafale à l’exportation nous est présentée comme une grande cause nationale.(à suivre)
La décision annoncée hier de poursuivre des pourparlers entre les ministres de la Défense français Le Drian et indien Manohar Parrikar pour la vente de 126 Rafale, contrat estimé à 15 milliards de dollars, fait frétiller d’aise les partisans du « savoir-faire » national.
L’Inde se donne les moyens d’une puissance militaire car les appétits des classes dirigeantes passent bien avant les besoins élémentaires de la population.
Quant au contrat jackpot pour le Rafale, Dassault l’a déjà décroché depuis le début. L’État français, disons plutôt les contribuables, a déjà dépensé plus de 43 milliards pour ce joujou meurtrier.
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