Castaner avait prétendu dès le soir du 1er mai que l’hôpital
 de la Pitié-Salpêtrière avait été « attaqué » et que la police n’était 
intervenue que pour « sauver le service de réanimation ». Martin Hirsch,
 président de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, et d’autres 
ministres lui avaient emboîté le pas. Las, pour ces pourfendeurs 
d’« émeutiers », qui répètent à l’envi que chaque manifestant est un 
complice de la violence, tout prouve que ces personnes ayant franchi 
l’enceinte n’avaient fait que tenter d’échapper à une des nombreuses et 
brutales charges policières.
Aucun service de réanimation ne pourra sauver Castener et les autres 
de leur crise de délire... calculée et orientée. D’autant que cela ne 
relève pas de la santé.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire